Investir en Israël

  • Diversifier son patrimoine, tout en sécurisant ses actifs

    Malgré la flambée des prix, la pierre demeure un placement sûr et une valeur refuge. Investir dans l’immobilier en Israël, c’est se constituer un patrimoine dans un pays qui possède de nombreux atouts. C’est un projet qui vous permettra de diversifier votre patrimoine, en minimisant les risques au maximum et en bénéficiant de revenus réguliers. En effet, investir dans un seul bien immobilier peut entraîner de lourdes pertes en cas de problème. Selon la loi en vigueur, l’État n’est pas en position de saisir des biens qui sont implantés hors du pays où vit le propriétaire, d’où l’intérêt d’investir dans un pays étranger.

  • Une fiscalité intéressante

    Pour n’importe quelle transaction immobilière en Israël, une taxe sur la plus-value est imposée. Plusieurs types d’exemptions sont possibles, si le bien en question est considéré comme un appartement d’habitation. Toutefois, la fiscalité peut être très élevée s’il s’agit d’un bien immobilier qui est considéré comme terrain ou comme « commercial ». L’imposition sur le revenu locatif à Israël dépend du mode de déclaration pour les revenus fonciers. Pour un mode d’imposition normal, le propriétaire paiera les impôts selon les tranches d‘imposition qui le concernent. Pour un mode de taux d’imposition linéaire à hauteur de 10 %, le propriétaire devra payer 10 % du montant du loyer qu’il perçoit. Il y a aussi le mode qui est exempt d’impôt (exemption partielle ou totale). Pour ce dernier, le propriétaire n’aura pas à payer d’impôt sur les loyers qu’il perçoit (jusqu’à 5 100 shekels par mois pour l’année 2020).

  • Un avenir certain pour les investissements

    La principale source de croissance économique en Israël provient de l’immigration. La population y est, par ailleurs, très urbanisée, avec un taux de 95 % des habitants qui vivent dans des agglomérations. Le niveau de vie en Israël est relativement élevé, on y constate une médiane de revenus de ménages supérieure à 25 000 dollars par an. On y trouve principalement un système d’investissement libéral et des activités qui sont ouvertes aussi bien aux investisseurs nationaux qu‘aux étrangers, dans la majorité des cas. L’environnement porteur de ce pays en devenir invite aux investissements en tout genre, surtout dans le secteur de l’immobilier.

  • Une bonne gestion du patrimoine avec l’aide de la devise monétaire

    La gestion de son patrimoine en vue d’une expatriation en Israël est primordiale pour protéger au mieux ses acquis. La devise monétaire joue un rôle d’envergure dans les stratégies à adopter, notamment le cours de change de l’euro vers le shekel. Ce paramètre est déterminant pour tous les choix essentiels, comme l’achat de voiture ou de résidence principale. Le change aura un effet immédiat sur les épargnes cumulées et les revenus futurs en euro, si vous avez toujours des
    placements en cours en Europe ou en France. Beaucoup de Français installés en Israël perçoivent toujours leurs salaires en euros, ce qui signifie qu’ils ne pourront pas facilement passer outre les contraintes des fluctuations du change euro shekel.
    Les changes du shekel par rapport aux principales devises internationales sont aujourd’hui remarquables : 3,97 shekalim pour un euro, 3,54 shekalim pour un dollar et 4,42 shekalim pour une livre sterling. Comme l’euro est plus fort que le shekel, il est intéressant pour les résidents français de se lancer dans une aventure immobilière en Israël.

  • Un marché en pleine expansion

    Malgré une hausse de prix constatée dans quelques villes, le marché immobilier se porte généralement bien à Israël, notamment celui de la catégorie « luxe ». Le ralentissement des activités dû à la crise mondiale est normal, mais les opportunités d’investissement immobilier au cours des prochains mois pourront se multiplier pour les investisseurs qui connaissent le potentiel de ce secteur très actif. Le marché immobilier israélien actuel est en pleine expansion, les données du CBS confirment que les ventes des appartements ont augmenté de 21 % l’année dernière, même après les confinements à répétition.